Réunissant une cinquantaine d’élus, cette journée à l’initiative de l’agence de l’eau Rhin-Meuse, du conseil départemental du Haut-Rhin, de la chambre d’agriculture et des services de l’Etat avait pour but de présenter des démarches globales à l’échelle des bassins versants afin de gérer de façon préventive les phénomènes de coulées d’eau boueuses.
Sur les territoires où il existe de fort enjeux concernant la gestion des milieux aquatiques et la prévention des inondations, le transfert en 2018 de la compétence GEMAPI aux intercommunalités va sans doute nécessiter de mobiliser à l’avenir des moyens financiers supplémentaires, pour financier les actions portées par les structures compétentes (EPCI directement ou syndicats mixtes de type EPTB ou EPAGE).
La nouvelle compétence GEMAPI (Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations) est entrée officiellement en vigueur le 1er janvier 2018. Elle vise à concilier la gestion des eaux et des milieux aquatiques (GEMA) avec la prévention des inondations (PI), à des échelles hydrographiquement cohérentes (bassins versants).
Les députés ont modifié, hier, cinq dispositions applicables au Fonds de prévention des risques naturels majeurs (FPRNM), dit « fonds Barnier », via un amendement déposé par le gouvernement dans le cadre de l’examen du projet de loi de finances (PLF) pour 2019.
La mission mise en place pour examiner la façon dont VNF gère la sécurité de ses ouvrages hydrauliques fait suite à des observations récurrentes sur ce sujet.
Un cadre méthodologique pour évaluer l’équivalence entre pertes et gains de biodiversité induits par les projets d’aménagement et leurs mesures compensatoires.
Pendant une semaine, une quinzaine de communes, avec la Direction départementale des Territoires (DDT) du Loiret et les acteurs de la gestion de crise, ont mené l’exercice de sécurité civile « inondation Loire ». Un exercice à la fois sur table et sur le terrain, qui a mobilisé les agents en charge de la gestion des digues et des levées de la Loire et du Loiret.
Une étude conduite après le tsunami qui a dévasté Palu, sur l’île de Sulawesi, fin septembre montre que les dégâts ont été moindres dans les zones protégées par des mangroves. Ces barrières naturelles constitueraient un meilleur rempart que des ouvrages artificiels.
Ces derniers jours l'ont encore démontré, le risque d'inondations en Corse, est de plus en plus présent. Comment réduire ce risque? Parmi les outils à disposition des mairies, le PPRI ou Plan de prévention du risque inondation. Encore faut-il le respecter.
Un mois après les inondations meurtrières qui ont touché le département, Sébastien Lecornu et Emmanuelle Wargon se sont rendus dans l'Aude ce 15 novembre pour faire le point sur les mesures engagées par l'Etat pour venir en aide aux habitants et aux collectivités sinistrés. Ils ont aussi assuré qu'un processus de révision des plans de prévention du risque inondation (PPRI) serait bientôt engagé.
En réaction aux fortes inondations du début d'année 2018 dans l'Eure et en Seine-Maritime, une étude a été lancée pour revoir le mode de gouvernance de la gestion de la Seine.
Crues, GEMAPI, inondations : il n’y a pas d’obligation générale de protéger les propriétés non bâties des riverains ; au surplus, le juge applique sa grille usuelle en matière de responsabilité pour faute ou sans faute, a tranché cet été la CAA de Lyon.
Le procédé ECOPLAGE, inventé par l’ingénieur Danois Hans Vesterby, a été mis en service le 23 septembre 2008 sur la plage de Quend. Depuis, le sable sèche et revient plus vite protéger le pied de digue et renforce les dunes. L'érosion naturelle est donc ralentie. Dès travaux de remise à niveau sont néanmoins indispensables pour assurer la pérennité de l’ouvrage après dix années de service.
La Seine francilienne a connu en 2016 une crue significative, atteignant plus de six mètres à Paris le 3 juin, et dont les répercussions ont été observées jusqu’en estuaire. Cet événement a été particulièrement remarquable du fait de la période à laquelle il s’est produit, les crues de la Seine ayant majoritairement lieu en hiver.
De part et d’autre des Alpes, en particulier dans les bassins versants du Tessin et des Grisons, l’automne 1868 est calamiteux. Une accumulation d’épisodes extrêmement pluvieux provoque de terribles crues et inondations entraînant la mort d’une cinquantaine de personnes et d’immenses dégâts matériels.
Sur l’île de la Grande-Terre, la région des Grands Fonds est soumise aux risques d’inondation. Pour faciliter l’écoulement des eaux pluviales, les villes y ont construit des canaux, dont l’entretien est un défi permanent. Plus globalement, six communes se sont engagées dans un Programme d’Action de Prévention des Inondations (PAPI). Sa phase d’études se terminera en 2019.
A Puttelange-aux-Lacs, les forages effectués dans la digue de l’étang de Diefenbach pour installer des piézomètres ont entraîné des rejets d’eau inhabituels. Le lac est en passe d’être vidé et des études approfondies sont en cours, pour diagnostiquer la cause du désordre.